samedi 19 novembre 2016

L'état du commerce électronique au Québec

On n'est pas sans nier que le commerce électronique se développe de plus en plus dans nos démarches d'achats et de magasinage.

Selon le CEFRIO et l'institut du Québec,le commerce de détail au Québec représenterait 6%du PIB et plus de 500.000emplois;Les Québécois achèteraient 6,6 milliards de dollars de produits et services en ligne par an,et les détaillants du Québec ne vendraient que 1,7 milliards de dollars à ces cyber-acheteurs. Il y'aurait donc près de 4,9 milliards de dollars qui seraient laissés aux  entreprises situées à l'extérieur du Québec.

           Comment arriver à convaincre les cyber-acheteurs de consommer Québécois?
N'oublions pas que les agents économiques magasinent en ligne dans le but de gagner du temps,tout en se facilitant la vie.Pour ce faire,nos sites en ligne se doivent d'être les moins complexes possibles,avec le plus de transparence qui soit.
En effet,une bonne gestion d'une boutique électronique en interne est primordiale pour susciter de l'attraction.
En outre,le site doit être adaptatif,en ce sens qu'il pourra ainsi être accessible par tous,en tout temps,surtout par les utilisateurs de technologies mobiles.
Il paraît également  important de miser sur la promotion du site à travers les différents réseaux sociaux en l’occurrence pour mieux le faire connaître du public.
Le fait de miser également sur une bonne gestion de sa chaîne d'approvisionnement n'est pas à négliger,bien au contraire.Une bonne gestion de la chaîne d'approvisionnement passe par une bonne planification ainsi qu'une bonne exécution,conduisant à une automatisation de la chaîne,ainsi qu'à une augmentation de la production et d'un rendement plus efficace,minimisant par la même occasion les éventuels retours.Les tendances de la gestion de la chaîne d'approvisionnement évoluant avec la performance technologique,il s'avère important d'utiliser des instruments qui sont à la pointe de la technologie comme les IDRF,effectuer des analyses poussées à travers les moyens comme la planification collaborative,de sorte à associer les cyber-acheteurs dans le processus de collaboration de façon à avoir une vision plus juste de leurs besoins dans le futur.
Des mesures doivent être prises par le gouvernement de façon à non seulement promouvoir le commerce en ligne des produits (du Québec),mais également  pour mieux promouvoir le Produit Intérieur Brut.

source:http://www.zonart.ca/commerce-electronique/
Publié par FUNNY SANDRA KABORE

Les salariés mobiles à la recherche de technologies de pointe pour plus de productivité

Publiée par FUNNY SANDRA KABORE

Autrefois les technologies étaient  plus perçues comme des outils de surveillance que de contribution à l'autonomie des employés.

Les entreprises ont compris qu'elles vivaient dans un environnement concurrentiel;que demeurer compétitives et maintenir un certain avantage concurrentiel passe par un bon environnement de travail de leurs salariés.
En effet,un salarié qui a un bon contexte environnemental de travail est forcement plus productif,ce qui profite à l'entreprise.
De plus en plus de liberté est ainsi accordée aux employés avec pour but d'améliorer la qualité de vie et stimuler la productivité par le biais de la technologie,en atteste l'édition 2016 de l'étude future Workforce de Dell.Il est indéniable que les évolutions technologiques impactent les modes de vie.
Des sondages démontrent  à ce propos que 95% des Allemands et 85% des Britanniques  sont contents de travailler à distance;pour autant,certaines incommodités sont à évoquées même si elles ne sont pas unanimes partout dans le monde,telles les problèmes de collaboration (comme la communication en face à face)peu considérer par certains (les Indiens,Chinois et Sud-Africains)mais considérés par d'autres ( les Européens).
En outre,la non performance des technologies sur les lieux de travail demeure également  problématique ,avec pour conséquences une perte de temps,ainsi qu'un travail peu productif.
 Notons que les entreprises travaillent à fournir des technologies fonctionnelles (dotées d'outils de collaboration et d'intelligence artificielle).
Grâce à cette innovation technologique,les employés pourront désormais travailler de façon plus efficace et efficiente,car ils n'auront plus de contraintes de déplacement,ni d'horaires,ni même des problèmes de collaboration,puisque tout est fait de telle sorte qu'ils peuvent non seulement travailler en tout temps,puis collaborer de n'importe où avec n'importe qui au sein de l'entreprise ,mais également partout dans le monde.
Les employés se sentant bien vont fournir un bon travail,ce qui aura des retombées pour l'entreprise misant sur la technologie pour une meilleure productivité.Cette tendance a des impactes financiers non seulement pour les entreprises(économies en fournitures de bureau...) que pour les employés(économies en déplacement,en garde des enfants...)
Les entreprises doivent suivre la tendance et fournir à leur avantage les dernières tendances technologiques pour une meilleure  efficacité et productivité de leurs employés ,ainsi qu'un accès systématique à l'information et au Feedback dont ces derniers ont besoin quand ils travaillent .

Source:www.journaldunet.com,Chronique de Jean-Guillaume Pons

mercredi 9 novembre 2016

Element AI : mettre l'intelligence artificielle au service des entreprises


(https://goo.gl/i0G8qx)





L’intelligence artificielle est de plus en plus connue. Certains pensent toujours qu’elle est pour les sommités. Étonnement, elle fait partie de nos vies à tous.  Element AI est une jeune entreprise de Montréal qui veut faire de la recherche dans le domaine et démocratiser l’intelligence artificielle à un plus grand nombre.


D’entrée de jeu, l’intelligence artificielle est un domaine de recherche qui vise à doter les systèmes informatiques de certains traits de l’intelligence humaine, comme la capacité de raisonner et d’apprendre (Baltzan et Welsh, 2015). Element AI, une jeune entreprise œuvrant dans l’IA, veut faire de Montréal la nouvelle Silicon Valley. La compagnie fait le lien entre les joueurs du milieu : les entrepreneurs, les grandes entreprises et les chercheurs. Selon elle, la localisation de Montréal est très avantageuse, car il y a deux grandes universités (McGill et l’UdeM) qui offrent des programmes dans le développement de l’IA et qu’il y a plusieurs diplômés. La recherche universitaire est prolifique : l'Université de Montréal a reçu 93 millions de dollars pour fonder Ivado, un institut pour l'avancement de l'intelligence artificielle. Malheureusement, malgré les deux universités, les diplômés quittent la ville après l’obtention de leur grade et Montréal devient un lieu de passage.


Actuellement, à Montréal, la pénurie est due à l’exode des cerveaux. Element AI veut recruter des étudiants, des jeunes diplômés et des chercheurs. Si elle devient reconnue dans le domaine, des entreprises similaires voudront s’installer à Montréal. Actuellement, la recherche se fait beaucoup en Californie, mais pourquoi ne pourrait-elle pas être faite ici, au Québec? L’intelligence artificielle est déjà bien présente dans nos vies : Google qui utilise des recherche par mots-clés, le logiciel Siri, la gestion des stocks en entreprise, des suggestions selon les intérêts sur Netflix ou YouTube. La recherche permettrait des nouvelles utilisations.


La position stratégique de Montréal avec ses deux universités, la présence de plusieurs cerveaux et la proximité de la Silicon Valley est profitable. Tous savent que l’intelligence artificielle sera partout dans les prochaines années. Aujourd’hui, il est difficile de s’imaginer les progrès de la technologie dans le futur. Il y a quelques années les télévisons intelligentes et les téléphones intelligents n’étaient pas utilisés par la majorité des gens. Avec les nombreuses recherches, les prix des items électroniques diminuent et l’IA devient plus populaire.

Audrey Maheux

vendredi 28 octobre 2016

Accès internet: des producteurs laitiers exaspérés
(https://goo.gl/7aCAE7)




Dans le cours d’introduction aux systèmes d’information, il est souvent question de la technologie et des développements qu’elle occasionne. Or, en 2016, plusieurs régions du Québec ont un accès Internet rudimentaire. 30 % des Québécois n’ont pas accès à l’Internet : le taux d’accès est de 74,4% dans le Bas-St-Laurent et de 70% en Gaspésie. Ces statistiques montrent bien que les régions éloignées sont dans les dernières à être raccordés au service.

Cette problématique joue sur la sécurité des habitants en milieu rural. En situation de danger, une personne pourrait ne pas pouvoir utiliser son cellulaire pour appeler les autorités. Cela empêche les entreprises de se développer ou d’utiliser certains systèmes pour faciliter leur travail. Comme le mentionne l’article d’Élisa Cloutier, les producteurs laitiers sont tributaires de la météo : lorsqu’il vente, lorsqu’il neige, lorsqu’il pleut le service ne fonctionne plus. Or, pour assurer que la qualité soit uniforme, il faudrait un service meilleur. Cette situation fâcheuse coûte temps et argent aux différents producteurs.

Bien que cela puisse paraître futile, un mauvais service Internet a de nombreuses répercussions. Ici, il est question des producteurs laitiers mais toutes les PME régionales auraient aussi pu être prises en exemple. En effet, comment une entreprise peut-elle s’assurer qu’elle aura les matériaux nécessaires, qu’elle puisse communiquer avec ses clients et ses distributeurs, qu’elle est à la fine pointe de la technologie et qu’elle est au courant des développements du domaine. Le développement devient très difficile quand l’outil de base du commerce en 2016 fonctionne mal.

Les gouvernements sont au courant du problème. Le gouvernement fédéral a promis 500 millions de dollars pour les cinq prochaines années pour l’accès Internet en milieu rural partout au Canada (https://goo.gl/6R7SJxl).  Une pétition a été signée par 4 000 personnes et a été remise par le député fédéral Rémi Massé  (Avigon, la Mitis, Matane et la Matapédia) pour sensibiliser à la situation de l’Est du Québec sans résultat. D’autres députés de l’Est du Québec déplorent aussi la situation : des gens ne veulent pas habiter dans ces régions à cause du mauvais accès selon le députe de la région de Charlevoix. La compagnie Telus qui fournit l’accès Internet pour la majorité de l’Est du Québec a un plan de déploiement. Au courant de 2016 et 2017 plusieurs zones ne seront toujours pas raccordées. Présentement, les accès sont coûteux et lents ce qui diminue l’efficacité et la productivité des entreprises. Reste à voir, comment les montants investis par le fédéral vont faciliter l’accès à l’Internet aux habitants des régions rurales.


Audrey Maheux